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Développées à partir du placenta, les maladies trophoblastiques gestationnelles concernent environ 1 grossesse sur 1000, en France. Si la plupart sont bénignes, 10% d’entre elles peuvent engendrer des tumeurs cancéreuses, potentiellement mortelles. Après quatre ans d’étude, le Centre national de référence des maladies trophoblastiques des HCL, basé à l’hôpital Lyon Sud, vient de valider un traitement qui a permis d’éradiquer entièrement les tumeurs de 25 des 26 patientes suivies dans le cadre d’un essai clinique, un taux de réussite rarissime au niveau mondial. Cette avancée considérable contre cette forme de cancer de la grossesse a été présentée en détail, ce samedi 14 septembre, lors du congrès annuel de la Société Européenne d'Oncologie Médicale, à Barcelone.
Le congrès annuel de la Société Européenne d'Oncologie Médicale (ESMO) se tient cette année à Barcelone, Espagne, du 13 au 17 septembre 2024. La délégation de médecins de l’Institut de Cancérologie des HCL (IC-HCL) interviendra tout au long de l’évènement pour présenter des résultats inédits sur des thématiques dont elle est experte : dépistage, immunothérapie, nouvelles stratégies thérapeutiques contre les cancers résistants aux traitements standards, cancers rares et médecine de précision.
Le prix ACTERIA (Action for European Research in Immunology and Allergology) est décerné chaque année par la Fédération européenne des sociétés d'immunologie (EFIS), pour récompenser des chercheurs en début de carrière à fort potentiel en immunologie et allergologie, et afin de reconnaître des réalisations exceptionnelles en matière de recherche fondamentale dans un institut d'un pays européen.
Les Hospices Civils de Lyon, experts internationaux dans la prise en charge des cancers du péritoine depuis plus de 30 ans sous l’impulsion du Pr François Noël Gilly, puis du Pr Olivier Glehen, organisent la 14e édition du congrès international dédié aux Tumeurs Péritonéales Primitives et Secondaires (PSOGI-ISSPP).
Née à la fin des années 1950, la suicidologie explore les mécanismes du passage à l’acte et les moyens de prévenir ce geste ultime. Cette recherche dynamique apporte des réponses concrètes à une détresse aux multiples visages
Un outil développé par une équipe multicentrique de médecins et chercheurs et présenté dans la revue Lancet Digital Health pourrait faciliter la prise en charge de la leucémie : à partir d’une simple prise de sang, l’intelligence artificielle permet, parmi les trois différents sous-types de leucémies, d’identifier précisément celui qui affecte un patient. De quoi orienter rapidement les patients lorsque l’expertise cytologique, sur laquelle repose actuellement le diagnostic, n’est pas disponible.
La maladie d’Alzheimer est la plus fréquente des maladies neurodégénératives, représentant plus de 70% des cas. Néanmoins, seule une personne sur deux est diagnostiquée et souvent tardivement. L’étude Actsoma, dont les HCL sont le promoteur, pourrait permettre d’améliorer le diagnostic avec en ligne de mire une meilleure qualité de vie du patient et de son entourage.
À Lyon, la recherche sur les maladies neurodégénératives est mise en lumière. Le projet collaboratif régional baptisé AURALS permettra de faire avancer la recherche sur la sclérose latérale amyotrophique (SLA ou maladie de Charcot) en associant trois acteurs majeurs : les HCL, Axoltis Pharma et Active Biomarkers (KCAS BIO), qui bénéficient de financements de l’État et de la Région Auvergne-Rhône-Alpes dans le cadre de l’appel à projet IDEMO Régionalisé. Les deux années à venir permettront de tester un candidat médicament et de développer le dosage de biomarqueurs permettant d’évaluer l’efficacité sur la progression de la maladie et l’effet des traitements.
Lorsque l’hyperoxalurie génétique, ou oxalose, finit par entrainer une insuffisance rénale terminale (IRT), les patients doivent classiquement recevoir une transplantation combinée foie/rein. Une procédure lourde et complexe à mettre en place, qui peut désormais être évitée, tout du moins dans les pays développés : l’injection d’ARN interférent diminue la production endogène d’oxalate dans le foie et permet ainsi aux patients de recevoir une seule greffe, la greffe rénale, comme rapporté par des médecins et chercheurs des Hospices Civils de Lyon et publié dans le New England Journal of Medicine.
« L’état nutritionnel joue un rôle majeur dans la capacité des patients à supporter les traitements anti-cancéreux et à en tirer bénéfice ; il a des conséquences sur l’état de santé global, la qualité de vie et un impact direct sur la survie » explique le Dr Nicolas Benech, gastroentérologue à l’hôpital de la Croix-Rousse et co-fondateur du groupe d’étude du microbiote (GEM) aux HCL.
Ce projet de 22 partenaires dans 17 pays a pour objectif de construire un réseau européen multinational d'essais adaptatifs sur la COVID19, dans la continuité de l'essai DisCoVeRy, avec le projet EU-SolidAct. Ces plateformes d’essais, pourront à plus long terme, permettre l’évaluation de traitement sur d’autres maladies émergentes.
The EU-funded HyperProbe project has marked the conclusion of its inaugural year with significant progress towards revolutionizing neurosurgery through advanced functional-guided neuronavigational imaging.
Porté aux HCL par le Professeur Sébastien Couraud, le projet SOLACE porte sur l'optimisation des programmes de dépistages du cancer du poumon au sein de l'Union Européenne.
Ce 17 juillet 2024, c’est huit nouveaux lauréats qui rejoignent le giron du projet SHAPE-Med dont 4 projets portés par les HCL.
Des recherches prometteuses menées par une équipe collaborative de l'Institut de la Vision à Paris, de l'Université et les Hospices Civils de Lyon, de l'Université de Bourgogne et de l'Institut du Cerveau et de la Moëlle à Paris ouvrent la voie à un traitement innovant pour la forme néovasculaire de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA), principale cause de perte de vision chez les plus de 50 ans en France. En effet, leurs travaux, publiés dans la revue The Journal of Clinical Investigation, suggèrent que les médicaments dopaminergiques, utilisés pour traiter la maladie de Parkinson, pourraient également avoir un effet protecteur contre cette forme de DMLA.
Les équipes de l’unité de médecine translationnelle et thérapies ciblées de l’hôpital Necker-Enfants malades AP-HP, de l’Inserm, de l’université Paris Cité au sein de l’Institut Necker–Enfants Malades, coordonnées par les professeurs Guillaume Canaud (Université Paris Cité, AP-HP) et Laurent Guibaud (Hospices Civils de Lyon, Centre de référence des anomalies vasculaires superficielles), ont mené une étude montrant un effet prometteur du médicament anticancéreux sotorasib pour les malformations artérioveineuses secondaires à une mutation du gène KRAS de type G12C.
Les résultats ont fait l’objet d’une publication parue le 17 juillet 2024 dans la revue New England Journal of Medicine.
Les résultats ont fait l’objet d’une publication parue le 17 juillet 2024 dans la revue New England Journal of Medicine.
Le deuxième symposium, dans le cadre du projet de coopération entre le Québec (Pr Anne-Marie LABERGE, CHU Sainte-Justine) et la France (Pr Damien SANLAVILLE, HCL), sur la gestion des données génétiques incidentes / trouvailles fortuites en période pré et post-natale, aura lieu à Lyon, le 13/12/2024.
Un an après l’obtention du label Institut Hospitalo-Universitaire (IHU) et après l’octroi, par la Région, d’un soutien financier à hauteur de 8,7 millions d’euros pour l’acquisition d’un équipement de haute technologie et pour la construction d’un nouveau bâtiment, l'Institut d’Hépatologie de Lyon vient de franchir une nouvelle étape : celle de son lancement officiel. Déploiement des projets de recherche, innovation et valorisation des travaux, développement des partenariats et essor de la médecine personnalisée… Pour les HCL, l’Université Claude Bernard Lyon 1, l’Inserm et le Centre Léon Bérard, les quatre institutions fondatrices de l’IHU, le cap à tenir pour les années à venir est clair.
En 2010, le centre de recherche contre le cancer de l’hôpital Lyon Sud faisait partie de la toute première liste d’établissements français à obtenir le label CLIP² de l’Institut national du cancer, visant à soutenir les essais de phase précoce des nouvelles thérapies. Pour son quatrième renouvellement, le label s’étend d’une part aux hôpitaux Louis Pradel et Pierre Wertheimer des HCL avec l’ouverture d’une nouvelle unité de phase précoce HCL sur le site du groupement hospitalier Est et d’autre part au CHU de Saint-Etienne, qui devient centre partenaire du CLIP² : l’ensemble est constitutif d’un nouveau programme baptisé EPSILyon (pour Early Phase Studies in Lyon).
Ouverte à tous les chercheurs, industriels et professionnels de santé intéressés par le microbiote et les recherches menées sur le territoire, la première journée annuelle du GEM s’est tenue ce vendredi 5 juillet à l’hôpital de la Croix-Rousse. Le GEM réunit les principaux acteurs académiques de la région lyonnaise impliqués dans la recherche sur microbiote dans le but de structurer et d’accélérer la recherche clinique et translationnelle sur le microbiote pour faire advenir une médecine du microbiote au service des patients.
La journée a été introduite par Monsieur Raymond Le Moign, directeur général, et Pr. Vincent Piriou, président de la Commission Médicale d’Etablissement.
La journée a été introduite par Monsieur Raymond Le Moign, directeur général, et Pr. Vincent Piriou, président de la Commission Médicale d’Etablissement.
INSPIRE (Integrated Short-term Palliative Rehabilitation) est un projet de quatre ans financé par Horizon Europe qui vise à répondre aux besoins des personnes atteintes d'un cancer en matière d'invalidité, de mobilité réduite et de soins palliatifs. Le recrutement pour cet essai financé par l'UE débutera prochainement dans six pays : le Danemark, l'Angleterre, la France, la Norvège, l'Italie et l'Écosse. En testant un nouveau modèle de réadaptation palliative dans le cadre d'un essai contrôlé randomisé, une série de professionnels de la santé travailleront avec des personnes atteintes d'un cancer afin de cibler leurs symptômes débilitants et d'élaborer un plan de réadaptation unique pour soutenir leurs objectifs.
Le projet AIRISE a l’ambition de développer un algorithme d’intelligence artificielle pour caractériser le risque d’aggravation des patients adultes hospitalisés pour une infection des voies respiratoires basses.
Le projet SyStinn, coordonné par l'université Lyon 1 et porté par le Pr Charles Dumontet, a pour but de combler un manque dans le traitement du cancer en développant et en testant un traitement innovant qui exploite le système immunitaire inné de l'organisme.
Les équipes de l'Institut de Cancérologie des HCL étaient au rendez-vous au congrès de l'American Society of Clinical Oncology 2024 (ASCO), qui s'est tenu du 31 mai au 4 juin, à Chicago aux Etats-Unis : Pr Falandry, Pr Dalle, Pr You, Pr Glehen, Pr Duruisseaux, Pr Freyer, Dr Pierret.
Plus d'une dizaine de travaux de recherche auxquels elles participent ont fait l'objet de présentations orales ou posters à cette occasion.
Plus d'une dizaine de travaux de recherche auxquels elles participent ont fait l'objet de présentations orales ou posters à cette occasion.
Depuis 20 ans, Sophie Pacaud scrute les images par résonance magnétique en quête de toute anomalie. Investie aujourd’hui dans la recherche, son parcours témoigne de la vitalité sans précédent de l’électroradiologie.
La journée scientifique du 11 juin "Actualités et Innovations en Pneumologie" sera rythmée de conférences sur des sujets divers : asthme et BPCO, insuffisance respiratoire, maladies pulmonaires rares, maladies infectieuses et épidémiologie, cancer du poumon et innovations chirurgicales.
Le Centre d’Investigation Clinique obtient la certification ISO 9001 version 2015 sur ses activités de conception, de coordination d’études et d’investigation
Venez rencontrez le Pr Roland Chapurlat et le Dr Elodie Feureur pour parler de l’actualité de la recherche en lien avec le sport et la santé. Cette rencontre chercheurs-grand public est organisée dans le cadre du 60ᵉ anniversaire de l’Inserm.
La place de l’agent antiviral remdesivir dans la prise en charge des patients hospitalisés pour la Covid-19 a évolué au fil du temps avec l’accumulation de nouvelles données. De nombreux cas d’évènements cardiaques indésirables, en particulier des bradycardies, ont été rapportés au niveau individuel et dans des études observationnelles sans groupe comparateur. Dans ce contexte, et dans le cadre de la réponse européenne, le département de vigilance recherche clinique de l’ANRS Maladies infectieuses émergentes, avec le soutien des équipes de recherche de diverses institutions, dont l’Inserm,* les Hospices civils de Lyon, l’AP-HP et l’Université libre de Bruxelles (ULB), vient de réaliser une analyse post-hoc** de l’étude de phase III DisCoVeRy. Cette analyse a permis d’évaluer la survenue d’évènements indésirables cardiaques chez des patients hospitalisés atteints de la forme modérée à sévère de la Covid-19 et recevant le standard de soins habituel seul ou associé au remdesivir. Aucune augmentation du risque d’évènements cardiaques indésirables lié au remdesivir n’a été mise en évidence par rapport au groupe comparateur. Les résultats ont été publiés dans le numéro de mars 2024 de Clinical Infectious Diseases, accompagnés d’un éditorial de la revue (1,2).
Quelques mois après l’annonce des dix lauréats de l’appel à projet d’amorçage, les premiers projets structurants de SHAPE-Med@Lyon, projet lauréat du PIA 4 ExcellencES et coordonné par l’Université Claude Bernard Lyon 1, viennent d’être sélectionnés.