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L'objectif du projet ANGELA est d'évaluer le rendement diagnostique du Cytosponge combiné à des biomarqueurs tissulaires et à des biomarqueurs moléculaires pour la détection du carcinome épidermoïde de l'œsophage.
Les Réseaux Européens de Référence sont des projets financés par la Commission Européenne depuis 2017 dans le cadre de la lutte contre les maladies rares. L'action conjointe JARDIN a pour but de renforcer l'impact des ERN en améliorant leur intégration dans les systèmes de soins nationaux.
Plus de 20 millions de citoyens européens atteints d'une maladie neurologique (nombre croissant) ont besoin de réadaptation. Les modèles de soins actuels ne sont pas en mesure de fournir une réponse efficace et rentable. Le projet NeuroRehab4EU a pour objectif de proposer un modèle durable de neuroréadaptation à l'échelle de l'UE, tout au long du continuum de soins.
Dans le cadre de l'objectif européen d'amélioration de la préparation et réponse aux pandémies, le projet PAIR a pour objectif d'associer des tests rapides et fiables à une modélisation complète des impacts potentiels en cas de pandémie pour faciliter la prise de décision.
Le projet HAP2 est de révolutionner la gestion des PAH en capitalisant sur le nouveau concept d’immunosuppression liée à une maladie critique modifiant les interactions hôte-pathogènes, l'idée est de proposer une réévaluation complète de la physiopathologie des PAH basée sur le concept de dysbiose respiratoire.
Née à la fin des années 1950, la suicidologie explore les mécanismes du passage à l’acte et les moyens de prévenir ce geste ultime. Cette recherche dynamique apporte des réponses concrètes à une détresse aux multiples visages
Le projet TopSurgeons est coordonné par l'Université Claude Bernard, Lyon 1 (UCBL) et inclue les Hospices Civils de Lyon (HCL) en tant que tierce partie. Ce projet vise à développer des solutions pour optimiser la condition physique et mentale des chirurgiens pendant l'opération et pour permettre à ces derniers d'être plus efficaces dans leur travail. physique et mentale des chirurgiens pendant l'opération et permettre une chirurgie de haute qualité.
Coordonné par l'INSERM, le projet EU-RESPONSE a pour objectif de concevoir et de mener un nouvel essai européen adaptatif sur COVID-19 et les maladies infectieuses émergentes.
EPIAROUSAL est un projet européen mené par le Pr Sylvain RHEIMS, coordonné par l'université Lyon 1 Claude Bernard (UCBL). L'objectif est de valider que thérapie ciblée sur l'adénosine peut restaurer l'éveil normal induit par l'asphyxie dans les cas d'épilepsie résistante aux médicaments, ouvrant ainsi la voie à un premier essai clinique de prévention de la SUDEP.
Conect4children est un large réseau réseau européen dont l'objectif est de faciliter le développement de nouveaux médicaments et d'autres thérapies pour les enfants. Ce projet est porté par la fondation PENTA (Italie)
CARDIATEAM est un projet européen mené par l'Institut National de la Sante Et de la Recherche Médicale
(INSERM) et dont les HCL sont partenaires. Il vise à déterminer dans quelle mesure la cardiomyopathie diabétique est distincte des autres formes d'insuffisance cardiaque et dans quelle mesure le diabète de type 2 contribue à son développement et à sa progression.
(INSERM) et dont les HCL sont partenaires. Il vise à déterminer dans quelle mesure la cardiomyopathie diabétique est distincte des autres formes d'insuffisance cardiaque et dans quelle mesure le diabète de type 2 contribue à son développement et à sa progression.
Un outil développé par une équipe multicentrique de médecins et chercheurs et présenté dans la revue Lancet Digital Health pourrait faciliter la prise en charge de la leucémie : à partir d’une simple prise de sang, l’intelligence artificielle permet, parmi les trois différents sous-types de leucémies, d’identifier précisément celui qui affecte un patient. De quoi orienter rapidement les patients lorsque l’expertise cytologique, sur laquelle repose actuellement le diagnostic, n’est pas disponible.
La maladie d’Alzheimer est la plus fréquente des maladies neurodégénératives, représentant plus de 70% des cas. Néanmoins, seule une personne sur deux est diagnostiquée et souvent tardivement. L’étude Actsoma, dont les HCL sont le promoteur, pourrait permettre d’améliorer le diagnostic avec en ligne de mire une meilleure qualité de vie du patient et de son entourage.
À Lyon, la recherche sur les maladies neurodégénératives est mise en lumière. Le projet collaboratif régional baptisé AURALS permettra de faire avancer la recherche sur la sclérose latérale amyotrophique (SLA ou maladie de Charcot) en associant trois acteurs majeurs : les HCL, Axoltis Pharma et Active Biomarkers (KCAS BIO), qui bénéficient de financements de l’État et de la Région Auvergne-Rhône-Alpes dans le cadre de l’appel à projet IDEMO Régionalisé. Les deux années à venir permettront de tester un candidat médicament et de développer le dosage de biomarqueurs permettant d’évaluer l’efficacité sur la progression de la maladie et l’effet des traitements.
Lorsque l’hyperoxalurie génétique, ou oxalose, finit par entrainer une insuffisance rénale terminale (IRT), les patients doivent classiquement recevoir une transplantation combinée foie/rein. Une procédure lourde et complexe à mettre en place, qui peut désormais être évitée, tout du moins dans les pays développés : l’injection d’ARN interférent diminue la production endogène d’oxalate dans le foie et permet ainsi aux patients de recevoir une seule greffe, la greffe rénale, comme rapporté par des médecins et chercheurs des Hospices Civils de Lyon et publié dans le New England Journal of Medicine.
« L’état nutritionnel joue un rôle majeur dans la capacité des patients à supporter les traitements anti-cancéreux et à en tirer bénéfice ; il a des conséquences sur l’état de santé global, la qualité de vie et un impact direct sur la survie » explique le Dr Nicolas Benech, gastroentérologue à l’hôpital de la Croix-Rousse et co-fondateur du groupe d’étude du microbiote (GEM) aux HCL.
Ce projet de 22 partenaires dans 17 pays a pour objectif de construire un réseau européen multinational d'essais adaptatifs sur la COVID19, dans la continuité de l'essai DisCoVeRy, avec le projet EU-SolidAct. Ces plateformes d’essais, pourront à plus long terme, permettre l’évaluation de traitement sur d’autres maladies émergentes.
Le consortium ISIDORe a pour vocation d’améliorer les services et la recherche européenne sur les agents pathogènes potentiellement épidémiques.
The EU-funded HyperProbe project has marked the conclusion of its inaugural year with significant progress towards revolutionizing neurosurgery through advanced functional-guided neuronavigational imaging.
Porté aux HCL par le Professeur Sébastien Couraud, le projet SOLACE porte sur l'optimisation des programmes de dépistages du cancer du poumon au sein de l'Union Européenne.
Le programme "Beating Cancer" de l'Europe a appelé à la mise en place d'un nouveau programme de dépistage du cancer soutenu par l'UE afin d'assurer la performance des programmes de dépistage du cancer dans tous les États membres (EM). L'objectif général du projet EUCanScreen est d'assurer la mise en œuvre durable de dépistage de haute qualité pour le cancer du sein, le cancer du col de l'utérus et le cancer colorectal, ainsi que la mise en œuvre des programmes de dépistage récemment recommandés - pour les cancers du poumon, de la prostate et de l'estomac.
Dans le cadre du programme Europe Numérique (DIGITAL), la Commission Européenne a ouvert des appels à projets pour financer des installations de test et d'expérimentation sectoriels de l'IA (TEF : Testing and Experimental Facilities). Le TEF HEALTH a pour vocation de favoriser l'intégration des technologies de pointe en matière d'IA et de robotique dans le domaine de la santé. Il stimulera l'industrie européenne des soins de
santé en se concentrant sur l'applicabilité et en facilitant le processus complexe et long d'innovation en IA.
santé en se concentrant sur l'applicabilité et en facilitant le processus complexe et long d'innovation en IA.
Ce 17 juillet 2024, c’est huit nouveaux lauréats qui rejoignent le giron du projet SHAPE-Med dont 4 projets portés par les HCL.
Des recherches prometteuses menées par une équipe collaborative de l'Institut de la Vision à Paris, de l'Université et les Hospices Civils de Lyon, de l'Université de Bourgogne et de l'Institut du Cerveau et de la Moëlle à Paris ouvrent la voie à un traitement innovant pour la forme néovasculaire de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA), principale cause de perte de vision chez les plus de 50 ans en France. En effet, leurs travaux, publiés dans la revue The Journal of Clinical Investigation, suggèrent que les médicaments dopaminergiques, utilisés pour traiter la maladie de Parkinson, pourraient également avoir un effet protecteur contre cette forme de DMLA.
SHARE-CTD est un réseau doctoral financé par l'Union européenne qui implique 9 chercheurs principaux et 12 partenaires universitaires et non universitaires, dont les Hospices Civils de Lyon.
Les projets de recherche de SHARE-CTD portent sur les bonnes pratiques et mesure d'impact de l'utilisation de données partagées, et de leur préparation avant le partage.
Les projets de recherche de SHARE-CTD portent sur les bonnes pratiques et mesure d'impact de l'utilisation de données partagées, et de leur préparation avant le partage.
Le projet ESENBURN, coordonné par les HCL, a pour objectif de créer, structurer et soutenir un réseau de fabricants de produits biologiques, de centres de traitement des brûlures, de sites de validation préclinique, les organismes de réglementation, les départements de R&D pour évaluer, stimuler et sécuriser les applications cliniques des médicaments de thérapie avancée (ATMP) pour les patients brûlés.
Les équipes de l’unité de médecine translationnelle et thérapies ciblées de l’hôpital Necker-Enfants malades AP-HP, de l’Inserm, de l’université Paris Cité au sein de l’Institut Necker–Enfants Malades, coordonnées par les professeurs Guillaume Canaud (Université Paris Cité, AP-HP) et Laurent Guibaud (Hospices Civils de Lyon, Centre de référence des anomalies vasculaires superficielles), ont mené une étude montrant un effet prometteur du médicament anticancéreux sotorasib pour les malformations artérioveineuses secondaires à une mutation du gène KRAS de type G12C.
Les résultats ont fait l’objet d’une publication parue le 17 juillet 2024 dans la revue New England Journal of Medicine.
Les résultats ont fait l’objet d’une publication parue le 17 juillet 2024 dans la revue New England Journal of Medicine.
Le deuxième symposium, dans le cadre du projet de coopération entre le Québec (Pr Anne-Marie LABERGE, CHU Sainte-Justine) et la France (Pr Damien SANLAVILLE, HCL), sur la gestion des données génétiques incidentes / trouvailles fortuites en période pré et post-natale, aura lieu à Lyon, le 13/12/2024.
Un an après l’obtention du label Institut Hospitalo-Universitaire (IHU) et après l’octroi, par la Région, d’un soutien financier à hauteur de 8,7 millions d’euros pour l’acquisition d’un équipement de haute technologie et pour la construction d’un nouveau bâtiment, l'Institut d’Hépatologie de Lyon vient de franchir une nouvelle étape : celle de son lancement officiel. Déploiement des projets de recherche, innovation et valorisation des travaux, développement des partenariats et essor de la médecine personnalisée… Pour les HCL, l’Université Claude Bernard Lyon 1, l’Inserm et le Centre Léon Bérard, les quatre institutions fondatrices de l’IHU, le cap à tenir pour les années à venir est clair.